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Témoignage de Marine Vergne Figliolini : « Copleni m’a aidé à mettre en avant ce qui me démarquais et à en faire une force »

Témoignage de Marine Vergne Figliolini : « Copleni m’a aidé à mettre en avant ce qui me démarquais et à en faire une force »

Après plusieurs années d’études dans l’art, Marine est aujourd’hui masseuse holistique depuis 3 ans. Elle a décidé de se lancer seule suite au premier confinement et a donc fait appel à Copleni pour développer sa clientèle et rencontrer d’autres professionnels du bien-être/mieux-être grâce au Collectif. 

Dans ce témoignage, Marine nous fait part de son parcours professionnel qui l’a mené vers ce qu’elle fait aujourd’hui, et comment Copleni a pu l’aider à se démarquer et prendre conscience de sa propre valeur.

 

Copleni. Quel parcours professionnel vous a mené vers le bien-être ? Il y-a-t-il eu un élément déclencheur ?

Marine Vergne. Au collège j’avais envie d’être Kinésithérapeute, mais n’ayant jamais été à l’aise dans le système scolaire, j’ai fini par suivre ma passion : le dessin. J’ai alors fait 5 ans d’études aux beaux arts en Art émergeant.

L’année qui a précédé, j’ai fait un psoriasis géant que j’ai trainé près de 10 ans. C’est grâce à ça que je me suis intéressée à tout ce qui pouvait toucher au lien corps-esprit, le langage du corps, mais aussi du rêve, du souvenirs, des traumas… J’ai ainsi articulé mes 2 diplômes autour de ces problématiques et j’ai fait de mes études, sans trop le savoir à l’époque, ma thérapie.

Après mes études, j’ai été contrainte de partir en saison dans le monde de l’animation pour avoir un revenu financier, car ce n’est pas mes expositions qui payaient mes factures… J’ai donc fait 4 ans de saison, avec un burn-out à la clé. J’ai pu par ailleurs faire la rencontre d’une masseuse énergéticienne qui m’a reconnecté au massage et qui m’a ouvert la porte des énergies et de la spiritualité. Suite au départ anticipé de mon post de responsable club enfant, j’ai alors fait le choix de faire une formation de massage. Et, au fur et a mesure des années, j’ai étoffé ma pratique 🙂

Copleni. Avez-vous rencontré des difficultés pour vous former, pour vous lancer, trouver des clients… ?

M. V. La formation était géniale, l’école ARNIKA propose un panel de cours pour avoir une approche dans pas mal de médecines douces autres que le massage, comme la naturopathie, l’aromathérapie, la photo, la médecine chinoise, ou encore l’Ayurvédique. Et ça, c’était une chance !

Suite à la formation, j’ai voulu allé en Indonésie et en Inde pour me former sur place. Bali m’a accueilli les bras ouverts, ce qui n’était pas le cas de l’Inde où j’avais dû rebrousser chemin… mais l’expérience était tout aussi enrichissante. L’école de la vie m’a aussi beaucoup appris, grâce aux rencontres et à tous les endroits où j’ai pu masser par la suite.

Pour me lancer j’ai eu la chance d’avoir pu travailler dans le milieu du tourisme, qui m’a permis de commencer en tant que responsable Spa dans un club, mais sans masser. Cela m’a aussi permis de me rendre compte ce qu’étaient les contraintes du salariat dans ce domaine, ce qui m’a tout de suite fait comprendre que j’allais devoir changer de statut. C’était en effet le cas 1 an après mais toujours en hôtel dans le sud en tant qu’intervenante massage.

J’ai fini par débarquer sur Paris pour travailler avec Urban massage et We casa : le massage à domicile, avec déplacement de la table dans les transports…

J’ai ensuite tenté l’institut où j’avais champs libre sur mes séances, avec signature d’un partenariat et non d’un salariat. Ce fut des expériences enrichissantes, j’avais affaire à de la clientèle de luxe dans des hôtels parisiens magnifiques, des clients de classe moyenne, des personnes âgées en cure… Mais je m’essoufflais et mon corps aussi. Le rythme était soutenu, et le partenariat avec l’institut se dégradait. Cela devenait du salariat déguisé et je ne me sentais pas respectée à ma juste valeur.

Suite au 1er confinement, j’ai décidé de quitter tous les partenariats que j’avais et de me lancer seule !

Copleni. Pourquoi avez-vous fait appel à Copleni ?

M. V. J’ai donc fait appel à Léa suite à cette décision d’arrêter avec l’institut et de me prendre une demi journée en cabinet sur Boulogne dans un nouveau cabinet collaboratif « Evoléoz ». 

Je souhaitais principalement développer ma clientèle perso qui était toute petite à l’époque. J’ai alors choisi l’accompagnement sur 6 mois avec agenda en ligne, accès au groupe Facebook, à des conférences, des réunions Visio afin de faire connaissance avec d’autres praticiens et coachs du bien-être/mieux-être de la France entière, et 3 heures d’accompagnement avec elle.

Copleni. Concrètement, qu’avez-vous travaillé avec Léa ?

M. V. Nous avons travaillé sur la communication de ma pratique, mais aussi et surtout sur le fait de faire de mes projets éditoriaux et mon coté illustration, des forces.

Voulant proposer des séances holistiques, et non juste du massage bien-être, il était intéressant de mettre en avant cette partie, et de me lancer dans l’auto édition de mes jeux d’apprentissages autour des médecines douces et oracle. J’attirerais à moi une clientèle plus ciblée ! C’est donc grâce à Léa que je me suis lancée seule dans cette aventure (j’avais déjà fait des jeux mais avec des auteurs, je me croyais incapable de le faire seule).

Léa m’a donc aidé à cibler ma clientèle, à mettre en avant ce qui me démarquais et à en faire une force. Elle m’a aidé a allier art et bien-être ! Elle m’a aussi beaucoup soutenu avec Instagram, m’a poussé à plus me montrer, et surtout à sortir de ma zone de confort 🙂

Copleni m’a permis de rencontrer des praticiens et coachs avec qui j’ai pu ou avec qui je continue de faire des projets, grâce aux réunions et aux événements digitaux.

Copleni. Qu’est-ce que cela vous a apporté, professionnellement et personnellement ?

M. V. Professionnellement cela ne m’a pas forcement amené plus de clientèle, mais plutôt à développer ma propre clientèle via le réseau Instagram, et Google My Business.

Copleni m’a permis d’avoir accès à un agenda en ligne, très important aujourd’hui, de rencontrer des praticiens et coachs merveilleux avec qui collaborer. Je pense à Morgane Pineau avec qui nous avons fait une conférence afin d’allier massage/fleur de bach/jeu de cartes. Mais aussi à Emilie Cambon avec qui nous sommes en train de créer un jeu autour des émotions pour les adultes.

Personnellement cela m’a aidé a me positionner, ne plus avoir peur de dire le mot holistique, oracle, ou encore parfois ésotérique ; de parler du lien émotionnel qu’il y a sur une douleur sans que l’on me prenne pour une perchée ; de prendre conscience de ma valeur et de prendre confiance en moi tout simplement !

Copleni. Un mot de plus ?  🙂

M. V. Déménageant en Bretagne, je trouve ça formidable que Copleni soit à l’échelle national, surtout lorsque l’on veut créer des synergies avec d’autres professionnels du bien-être/mieux-être. Cela ouvre des portes.

Léa nous donne l’opportunité d’être acteur de l’évolution de Copleni, ainsi que des événements qu’elle propose. Je trouve ça génial d’être considérés, écoutés autant que conseillés. Merci Léa et à toute son équipe pour l’énergie qu’ils déploient afin de nous aider dans notre chemin, de créer du lien et des projets avec nous.

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